Depuis le 27 septembre, l’Arménie et l’Azerbaïdjan sont en guerre dans la région du Haut Karabakh. Cela fait donc deux semaines, que la capitale de la République du Haut Karabakh, Stepanakert, se trouve sous les bombardements, les obus et autres missiles azerbaidjanais n’épargnant pas les civiles.
Depuis deux jours, les attaques dans la ville ont diminué. Cela a permis aux habitants terrés dans les caves de sortir et profiter un peu de la lumière du jour.
Ce 24 avril, les Arméniens commémorent le 109ème anniversaire du Génocide des Arméniens. Pour l’occasion, le Musée-Institut du Génocide Arménien à Erevan a ouvert ses portes à une exposition temporaire intitulée “Femme arménienne: Victime et héros du génocide”.
Depuis le 19 avril dernier, certaines routes du Tavush, dans le nord-est de l’Arménie, sont bloquées. Les habitants des villages de Kirants, Baghanis et Voskepar se sont postés sur des tronçons de route reliant leurs communautés aux villes d’Ijevan et de Noyemberian. L’Arménie a accepté de restituer à l’Azerbaïdjan les quatre villages frontaliers abandonnés qu’elle contrôle depuis le début des années 1990, comme première étape dans la définition de la frontière entre les deux nations du Caucase du Sud.
“Un tapis c’est la vie. C’est vivant, ça respire. Il est organique. De la laine pure, du coton et des couleurs naturelles. Il est issu de la nature-même. Quand il est tissé à la main, l’artisan y met son âme, son souffle.” C’est en ces mots que Kyle Khandikian, le fondateur de The Rug Code, un magasin de tapis traditionnel arméniens décrit les tapis fabriqués par les mains des villageois du petit pays du Caucase. Chaque dessin, chaque motif est conçu pour raconter une histoire. Chaque ornements est un symbole dont beaucoup ignorent la signification. Comme un code secret.
Les élections régionales belges se tiendront le 9 juin 2024. Cinq candidats, issus de différents partis belges et d’origine arménienne, participent aux élections. Parmi eux, Nicolas Tavitian. Ce dernier est activement engagé au sein de la diaspora arménienne en Europe. La présence en politique européenne des Arméniens pourrait-elle changer la donne pour les Arméniens et l’Arménie?
Depuis trois ans, vandalismes, profanation et insécurité règnent dans le quartier armenien de Jérusalem. Depuis l’arrivée de l’extrême droite juive au gouvernement mené par le Premier ministre Netanyahou, la situation est tendue entre Juifs et Arméniens. Depuis plus d’un an, les jeunes arméniens de Jérusalem, luttent contre l’invasion d’une partie historique du quartier, le Jardin des vaches. Le mouvement de lutte s’appelle Save the ArQ. Son co-fondateur, Setrag Balian, relate sur la plateau de CivilNet, la situation au quotidien pour les Arméniens de Jérusalem.
La réunion conjointe de haut niveau Arménie-UE Etats-Unis du 5 avril à Bruxelles a réuni le Premier ministre Nikol Pachinian, la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le Secrétaire d’État américain Antony Blinken et le Haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell. Tous, ont fait des déclarations d’amitié, de soutien, et à l’Arménie. La présidente de la commission européenne évoque un programme «d’aide à la résilience de l’Arménie » sous la forme d’investissements pour aider son économie à résister aux choix. En l’occurrence un prêt de 270 millions d’euros, […]
Le 5 avril dernier, les représentants de l’Arménie, des Etats-Unis et de l’Union Européenne se sont rencontrés à Bruxelles. La réunion avait pour but de «réaffirmer le soutien à la souveraineté, à la démocratie, à l’intégrité territoriale et à l’intégrité territoriale de l’Arménie. résilience socio-économique». Que dit ce sommet des relations entre les pays occidentaux et l’Arménie? Quelles perspectives peuvent s’ouvrir pour le gouvernement de Nikol Pachinian. Gaïdz Minassian décortique la rencontre.
Le docteur Kevork Georges Képénékian, chirurgien urologue et ancien maire de Lyon était l’invité de CivilNet. Depuis 1987, le médecin se rend fréquemment en Arménie pour des missions médicales. Depuis plus de 35 ans, il a vu comment l’Arménie a évolué dans sa direction politique. Le Dr. Képénékian, engagé dans la diaspora, évoque le lien rompu entre les Arméniens qui vivent en dehors des frontières de l’Arménie et le gouvernement arménien.
